Emploi / Compétences : les initiatives pour soutenir les entreprises

Emploi / Compétences : les initiatives pour soutenir les entreprises

Emploi / Compétences

Les initiatives du Territoire d'Industrie Nevers Val de Loire pour soutenir les entreprises

La thématique des recrutements et des besoins en compétences dans l’industrie est un axe majeur de notre Contrat Territoire d’Industrie. C’est même une condition nécessaire à remplir pour pouvoir affronter les défis de demain : industrie 4.0, transition écologique, réindustrialisation, etc.

Une démarche de GPECT qui a permis de confirmer les attentes des industriels

Pour apporter des solutions aux besoins exprimés par les entreprises, le Territoire d’industrie Nevers Val de Loire s’est engagé dans une démarche de GPECT , Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences Territoriale.
Cette mission a été réalisée avec l’appui d’un cabinet conseil, qui a mené un travail de terrain auprès des principaux concernés (interviews de responsables RH, enquête en ligne, ateliers de co-construction, etc.)

La conclusion de ces travaux a permis de dessiner pour les années à venir une feuille de route, avec trois enjeux principaux :

  • Améliorer l’image de l’industrie auprès des différents publics (scolaires, demandeurs d’emploi, public en reconversion) pour donner envie de s’orienter vers des métiers en tension ;
  • Favoriser le partage d’outils de gestion RH entre industriels pour harmoniser les pratiques et mener des actions communes ;
  • Valoriser l’offre de formation locale, jugée pertinente pour répondre aux besoins.

Ces orientations sont maintenant déclinées en actions concrètes, auxquelles les entreprises sont étroitement associées.

Quelques exemples : organiser un atelier sur la QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de Travail), rencontrer un groupement d’employeurs GEIQ, programmer des rencontres pour la Semaine de l’Industrie 2022, se rapprocher de l’Education Nationale pour mieux sensibiliser les jeunes et le corps enseignant, etc.

Des services proposés aux entreprises pour les accompagner dans leurs recrutements

Des dispositifs ont été spécialement créés pour venir en appui aux services Ressources Humaines des entreprises.

Pour aider les entreprises à mieux convaincre leurs futurs collaborateurs, le Territoire d’industrie Nevers Val de Loire s’est doté de plusieurs outils :

Sans oublier le dispositif Welcome – WIN In Nevers et sa cellule Accueil et Emploi du conjoint : véritable service « cinq étoiles », cette cellule offre un accompagnement sur-mesure aux candidats à l’installation sur le territoire.

Aide pour trouver un logement, démarche pour faciliter la recherche d’emploi du conjoint, mise en relation avec des acteurs locaux, rendez-vous personnalisé de découverte du territoire… Tout ce dont peut rêver un futur habitant du territoire, avant même de poser le pied sur place !

Le Territoire d’Industrie Nevers Val de Loire compte bien réussir ainsi à conforter les entreprises locales dans leurs démarches.

+ d’info. www.win-nevers.fr

Deux outils restaurent l’attractivité du territoire

Deux outils restaurent l’attractivité du territoire

Le val de Loire nivernais manquait de supports de promotion pour séduire les porteurs de projet et les salariés intéressés par les perspectives d’embauche. Avec le film et la brochure (Re)vivre et travailler, réalisés sur-mesure à la demande des chefs d’entreprise et des collectivités, le Territoire d’industrie Nevers Val de Loire peut désormais valoriser ses nombreux atouts hors de ses frontières mais aussi auprès de ses habitants.

Cinq minutes de film toniques et envoûtantes, une brochure de 48 pages donnant toutes les bonnes raisons de poser ses valises et ses projets dans le val de Loire nivernais : les deux supports de (Re)vivre et travailler donnent un souffle nouveau – et puissant – à la promotion du Territoire d’industrie Nevers Val de Loire.

La difficulté à valoriser les atouts est un obstacle au recrutement fréquemment signalé par les chefs d’entreprise et les responsables des ressources humaines. Sa résolution s’est imposée d’elle-même parmi les priorités des acteurs du Territoire d’industrie. Le Pays Val de Loire Nivernais a fédéré un groupe composé de techniciens des collectivités et de responsables RH, pour piloter la conception de nouveaux outils de promotion. Résultat de ce travail hautement collaboratif : des supports modernes, audacieux et adaptés aux attentes des industriels.

A la forme séduisante du film de 5 mn répond le contenu original d’une brochure qui aborde sans détours et avec humour les idées préconçues brouillant l’image du territoire. Transports, logement, éducation, travail, commerces, loisirs, etc. : tous les aspects du quotidien sont détaillés au fil des pages pour brosser un portrait façon mosaïque d’un cadre de vie (et d’un art de vivre) trop méconnus. L’accompagnement à l’installation et à la recherche d’emploi du conjoint, qui est une des forces du territoire, est également mis en avant.

Accessibles sur les sites du Territoire d’industrie Nevers Val de Loire et du Pays Val de Loire Nivernais, le film et la brochure (en versions papier et digitale) sont mis à disposition des entreprises et des collectivités.

L’opération séduction de l’industrie auprès des bénéficiaires du PLIE

L’opération séduction de l’industrie auprès des bénéficiaires du PLIE

A l’occasion de la Semaine de l’industrie, deux entreprises, Laser Fusion (Coulanges-lès-Nevers) et Nexson (Garchizy), ont rencontré des bénéficiaires du Plan local pour l’insertion et l’emploi (PLIE) de Nevers Agglomération. Avec un double objectif : abraser les idées préconçues sur le monde industriel et en montrer les perspectives d’épanouissement et de carrière.

Quelques jours après le succès de la série Germinal sur France 2, Emmanuel Boudet voit la Semaine de l’industrie comme l’occasion rêvée de montrer que l’usine de 2021 n’a plus rien à voir avec « l’image de Zola ». Le patron fondateur de Laser Fusion – et président de l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) Nièvre – est venu dans les locaux de Nevers Agglomération, vendredi 26 novembre, livrer un vibrant plaidoyer pour « son » univers industriel.

« Je veux montrer que l’industrie est un endroit où on peut s’épanouir, travailler avec plaisir et gagner correctement sa vie. Et non, le sol de nos ateliers n’est pas en terre battue, au contraire, on pourrait presque manger par terre », expliquait-il avant de présenter son entreprise à des bénéficiaires et référents du Plan local pour l’insertion et l’emploi (PLIE). Une opération séduction soigneusement argumentée : « Le pilotage d’une machine est très facile. Quelqu’un qui n’a pas de bagage particulier peut y arriver. Ce qu’on attend de nos salariés, c’est du savoir-être, venir avec envie, ne pas voir le travail comme une contrainte. Le savoir-faire, on s’en occupe. »

Créée en 1994, Laser Fusion a grandi patiemment, sans brûler les étapes, pour devenir « l’un des leaders français de la découpe au laser », avec un chiffre d’affaires de 4 M€ et « 250 000 pièces découpées chaque mois » : « Nous sommes actuellement 25 salariés. Nous étions 30 avant le Covid. » S’il n’a pas de besoin particulier de recrutement pour l’instant, Emmanuel Boudet s’est déplacé pour défendre l’industrie : « Sans elle, on se retrouve à l’âge de pierre. »

Autre « pépite » locale, Nexson avait dépêché Emma Gozzi, responsable RH, et Sharon Nuno Cordova, responsable de la vente de pièces de rechange et du développement des marchés, pour présenter l’entreprise, spécialisée dans la conception et la fabrication d’échangeurs de chaleur, et surtout un état d’esprit : « On est comme une famille, on est toujours là les uns pour les autres. » Une culture injectée par le fondateur de Nexson, Charles Bonnafous, qui a fait de son « bébé » un leader mondial, et de Garchizy un épicentre international, le tout en moins de dix ans : « 98 % de notre production part à l’étranger. Nous avons 250 clients dans 80 pays. »

Engagée dans un nouvel agrandissement de ses locaux, l’entreprise aura besoin de renforcer son effectif (80 salariés) : « Nous manquons de candidats », explique Emma Gozzi. Et ce malgré une ouverture d’esprit dans les embauches, et la priorité donnée aux qualités humaines plus que techniques : « Ce que nous fabriquons est tellement spécifique que nous formons en interne. Nous sommes surtout très attachés au savoir-être. Le profil que nous recherchons, c’est le goût du travail en équipe, le respect des autres, la passion, la détermination, le dynamisme, l’adaptabilité et l’appartenance. »

+ d’info sur les entreprises qui se mobilisent

Une dynamique fructueuse à faire durer

Une dynamique fructueuse à faire durer

Le 18 décembre 2019, le Territoire d’industrie Nevers Val de Loire officialisait son existence avec la signature du contrat validant une année de travaux préparatoires entre collectivités locales et entreprises. Deux mondes qui ont appris à coopérer et à initier une dynamique inédite dont le comité local du 23 novembre a présenté les effets concrets. A un an du terme du programme national, la nécessité de pérenniser cette démarche fait l’unanimité.

Signature du contrat Territoires d’industrie Nevers Val de Loire – 18 décembre 2019

En novembre 2018, le gouvernement lançait l’ambitieux programme Territoires d’industrie pour inverser la vapeur de la désindustrialisation sur la période 2019-2022. Une initiative saisie au vol par le val de Loire nivernais, autour de Nevers Agglomération. De Decize à Cosne-sur-Loire, toute une région marquée par des siècles d’épopées industrielles s’est réunie pour postuler à ce programme.

Un an plus tard, après des mois d’échanges et de réunions entre élus et chefs d’entreprise, le Territoire d’industrie Nevers Val de Loire était l’un des premiers en France à parapher son contrat, le 18 décembre. Le comité local semestriel, mardi 23 novembre dans l’amphithéâtre de Nevers Agglomération (1), avait de fait la couleur d’un bilan anniversaire de ces deux années d’activité officielle, à un an du terme du programme.

Un terme que personne, parmi les acteurs nivernais, ne souhaite voir comme la fin d’une dynamique sans précédent : « J’ai demandé à Agnès Pannier-Runacher (ministre chargée de l’Industrie déléguée auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance) que le programme Territoires d’industrie soit prolongé jusqu’au terme du mandat des élus municipaux, c’est-à-dire 2026 », a plaidé Denis Thuriot, maire de Nevers, président de Nevers Agglomération et copilote du Territoire avec Jean-Christophe Trontin, directeur de l’aciérie imphycoise Aperam. « Notre action est plutôt scrutée favorablement. C’était un pari d’avancer avec les chefs d’entreprise, dans la co-construction. Je remercie Jean-Christophe Trontin de les avoir emmenés dans cette action, pour avancer au service de l’industrie. Nous avons tous autre chose que du temps à perdre, alors si nous sommes toujours là, cela veut dire que cette démarche a prouvé son utilité. ».

« Votre présence a été assidue depuis le lancement de ce Territoire d’industrie », a salué à son tour Jean-Christophe Trontin, s’adressant au public. « Nous vous devions des résultats. » Engagement tenu : cinq « réalisations concrètes » ont été dévoilées.

Film et brochure (Re)vivre et travailler.

Le val de Loire nivernais « manquait d’outils de promotion », comme l’a rappelé Eric Guyot, président du Pays Val de Loire Nivernais, qui a piloté la conception d’un film de 5 mn et d’une brochure de 48 pages, (Re)vivre et travailler, avec un groupe de travail réunissant des techniciens des EPCI et des responsables RH d’entreprises. Objectif, soigner « l’attractivité » et lutter contre « les idées préconçues » pour convaincre un « public exogène » de s’implanter dans la région. « Quand on a regardé ce film, on n’a qu’une seule envie, c’est de venir vivre ici », assure Jean-Christophe Trontin.

Friches industrielles

Les conclusions de l’étude portant sur la réhabilitation de huit friches industrielles ont été présentées. « C’est bien de voir que l’on parle de nos friches autrement que dans des articles catastrophistes », apprécie Jean-Pierre Chateau, maire de Guérigny et 1er vice-président de la communauté de communes Les Bertranges. « Elles sont là et elles témoignent de l’histoire industrielle du territoire. Elles sont un atout car elles peuvent avoir un avenir. »

 

Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC).

Apparue comme un enjeu prioritaire et lancinant dès les premières réunions du Territoire d’industrie, la question du recrutement – endogène et exogène – mobilise des responsables RH de plusieurs entreprises et des techniciens de Nevers Agglomération autour de Tristan Lacombe, responsable du pôle Engin du Technicentre industriel SNCF Nevers-Languedoc.

Le chantier est vaste : améliorer l’image de l’industrie auprès des jeunes, de leurs parents et des enseignants, mais aussi faire connaître l’offre de formations auprès des industriels, souvent persuadés que celle-ci est carencée « alors que toutes les formations existent sur le territoire ». « C’est un travail de long terme, pour les cinq à dix ans devant nous », assure Tristan Lacombe, dont l’entreprise doit anticiper une « hausse de charge » en 2023-2024.

 Semaine de l’industrie

Après « Osez l’industrie » en juin dernier, Nevers Val de Loire reprend son bâton de pèlerin pour promouvoir ses entreprises et leurs perspectives de carrière durant la Semaine de l’industrie (22-28 novembre). Au programme, 13 visites d’entreprise et 7 interventions dans des établissements scolaires.

Dans d’autres domaines ciblés par le Territoire d’industrie, les chantiers sont toujours en cours. C’est le cas pour l’écologie industrielle territoriale (les déchets des uns peuvent devenir les matières premières des autres), la fabrication additive métallique et l’usine 4.0. « Le contrat va se terminer dans un an », a insisté Jean-Christophe Trontin. « 2022 doit être le temps des dernières livraisons. ».

(1) En présence de Didier Josso, sous-préfet à la Relance, et de la députée Perrine Goulet.

L’avenir en germe sur les friches industrielles

L’avenir en germe sur les friches industrielles

La longue histoire industrielle du val de Loire nivernais a laissé en héritage une constellation d’usines en friche. Un patrimoine bâti qui recèle des promesses de nouvelle vie pour Territoire d’industrie Nevers Val de Loire. Parmi huit sites considérés comme à haut potentiel de reconversion, trois (1) ont vu leurs perspectives confortées par des études pré-opérationnelles récemment présentées au comité de pilotage.

Dès ses premières réunions de travail, le Territoire d’industrie Nevers Val de Loire a placé la résurrection des friches industrielles au cœur de ses préoccupations. Le gisement de possibilités qu’offre ce vaste patrimoine bâti mobilise un groupe de travail d’industriels, élus et techniciens qui a sélectionné huit sites : Usine Céramique à Decize, silo à La Charité-sur-Loire, Vallourec Gare à Cosne-sur-Loire, Top Sedia et Iveco à Fourchambault, Selni à Nevers, Lambiotte à Prémery et Arsenal de la Royale à Guérigny.

Les trois premiers sont les plus avancés dans une démarche de reconversion, portée par des acteurs publics ou privés. Ils ont bénéficié, à ce titre, d’études pré-opérationnelles menées par le cabinet Egis Conseil, qui s’est également penché sur l’avenir des autres sites. Les conclusions ont été communiquées au comité de pilotage lors d’un séminaire organisé au port de la Jonction, à Decize, le 10 décembre.

Usine Céramique - Decize

Usine Céramique, Decize. Vacant depuis 30 ans, le site marque l’entrée de ville, à l’est (côté routes de Bourbon-Lancy et Cercy-la-Tour), à proximité de la zone d’activités du Four-à-Chaux. Selon le scénario d’Egis Conseil, les bâtiments les plus dégradés seront démolis, mais l’essentiel sera préservé, dépollué et réhabilité pour héberger des services de la Communauté de communes du Sud-Nivernais (CCSN) et des artisans dans des ateliers de 150 à 450 m2. Le coût de cette opération est évalué à 2,6 M€ HT ; porteuse du projet, la CCSN pourrait bénéficier de subventions de l’Etat (Fonds friches, 650 000 € ; DETR, 500 000 €) et de la Région (979 000 €).

Silo, La Charité-sur-Loire. L’imposant édifice construit après la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre du plan Marshall, est labellisé Patrimoine du XXe siècle. L’activité y a pris fin en 1985. La singularité architecturale du plus haut bâtiment charitois a séduit des investisseurs privés, un collectif de sept agriculteurs qui veulent créer une brasserie, un restaurant panoramique et bien d’autres activités dans cette « cathédrale » de béton voisine de la gare. Selon les scénarios, le coût varié de 2,7 à 3 M€, là encore avec de possibles subsides de l’Etat et de la Région. Cette opération s’inscrirait dans un projet plus ample de requalification du quartier de la gare.

Vallourec-Gare, Cosne-sur-Loire. Proche du centre-ville, cette friche pourrait revivre avec la réhabilitation de la grande halle, qui conserverait une vocation industrielle, et la construction de trois ou quatre ateliers, voire la création de logements pour favoriser l’insertion de ce vaste pan industriel dans le quartier. Le coût est évalué autour de 3 M€.

Usine Céramique - Decize

Le point sur les cinq autres friches

Top Sedia, Fourchambault. Une entreprise de l’agglomération neversoise est intéressée par un déménagement sur ce site dans lequel étaient fabriqués des sièges de bureau. Une étude de faisabilité a été confiée à Nièvre Aménagement, et financée par Nevers Agglomération, le Conseil régional et la Banque des territoires. L’investissement (réhabilitation et extension) est estimé à 9 M€.

Iveco, Fourchambault. Le site intéresse Fiat Powertrain, dont l’usine voisine a été en grande partie détruite par un incendie cette année. Des négociations sont en cours, sous l’égide de Nevers Agglomération, propriétaire du site.

Selni, Nevers. Le site est en cours de sécurisation. Aucun projet de reconversion n’émerge pour l’instant.

Lambiotte, Prémery. Préalables à toute reconversion, des travaux de dépollution sont prévus en 2023 ; ils sont menés par l’Ademe.

Arsenal de la Royale, Guérigny. Des travaux de requalification des voiries et réseaux sont prévus en 2022, mais aucun projet de revalorisation du bâti ne se dessine à l’horizon.

1. Usine Céramique à Decize, silo à La Charité-sur-Loire, usine Vallourec à Cosne-sur-Loire.

La Semaine de l’industrie 2021 : inventer un avenir durable !

La Semaine de l’industrie 2021 : inventer un avenir durable !

L’industrie en  quelques chiffres…

en 2021

  • 70 000 emplois non pourvus
  • 250 000 postes à pourvoir
  • le nombre de femmes cadres et ingénieures a triplé en 20 ans

Du 22 au 28 novembre 2021, les entreprises industrielles, les écoles et les centres de formation ouvriront leurs portes pour faire découvrir leurs métiers ! À la recherche d’informations sur les formations, envie de découvrir votre futur métier ou de rencontrer les acteurs de ce secteur résolument tourné vers l’avenir ?

 

Rendez-vous du 22 au 28 novembre 2021, partout en France !
Tchats, visites virtuelles, portes ouvertes, forums des métiers, web-conférences, interventions en classe, job dating… Pour retrouver tous les événements près de chez vous : semaine-industrie.gouv.fr 

« Inventer un avenir durable » : une Semaine de l’industrie pour mettre en lumière les solutions apportées par les acteurs de l’industrie aux grands enjeux sociétaux.
Le thème de cette 10e édition met en lumière la transition écologique, l’économie circulaire et la mixité des métiers dans l’industrie. « Inventer un avenir durable », c’est aussi valoriser les solutions des acteurs de l’industrie pour répondre aux préoccupations de la société, et notamment des jeunes (innovation, transition écologique, mixité des métiers, égalité femmes-hommes, économie circulaire …), et aux enjeux de production et d’indépendance et de souveraineté nationale.

Depuis 10 ans, la Semaine de l’industrie suscite des vocations en montrant que l’industrie offre des carrières passionnantes, stables, formatrices, et en moyenne mieux rémunérées que dans les autres secteurs.

Stop aux préjugés !

L’industrie, c’est des métiers pour tous les niveaux !

Travailler en équipe avec des professionnels de tous niveaux et tous horizons, c’est ça, le quotidien de François !

L’industrie, c’est pas toujours travailler à l’usine !

Travailler dans l’industrie, ça peut être sportif… La preuve avec Valentin, chez EDF.

L’industrie, c’est aussi pour les filles !

Être une femme et faire carrière dans le secteur industriel, c’est tout à fait possible ! La preuve avec Aurélie, à La Normandise.

L’industrie, c’est valoriser nos déchets !

Travailler dans l’industrie et être engagé pour l’environnement, c’est loin d’être incompatible ! La preuve avec François, de La Normandise.

L’industrie, c’est bien fait pour toi !

70 000 emplois non pourvus, 250 000 postes à pourvoir cette année : l’industrie recrute ! La preuve avec Valentin, chez EDF !

L’industrie, c’est bien payé !

Démarrer sa carrière très jeune et profiter des formations pour la faire décoller : ça fait partie des belles opportunités qu’offre l’industrie. La preuve avec Valentin, chez EDF !

Et toi, c’est quoi ton parcours ?

Maxime, technicien de synthèse

Travailler en équipe avec des professionnels de tous niveaux et tous horizons, c’est ça, le quotidien de Maxime !

Nolwenn, responsable de la collecte des déchets ménagers

Embarquez avec Nolwenn et ses collègues pour découvrir un métier étonnant et pas routinier !

Aurélie, Directrice Recherche-Développement et qualité

Être une femme et faire carrière dans le secteur industriel, c’est tout à fait possible ! La preuve avec Aurélie, à La Normandise.

Léa, technicienne de production

Préparer la production des produits, vérifier les réglages des machines, contrôler la qualité de la production et s’assurer du respect du cahier des charges : c’est ça le métier de Léa. Et ça change tous les jours !

François, Directeur général

A l’affût des nouvelles tendances du marché, François et ses équipes développent de nouveaux produits tout en étant vigilants au respect de l’environnement et à l’amélioration des conditions de travail des collaborateurs. Pour sa formation, François a même eu l’opportunité d’étudier au Canada. Plutôt tentant, non ?

Valentin, chef d’un groupement d’usines hydrauliques

Plutôt passionné par le bricolage que de rester sagement assis en classe, Valentin a démarré juste après son CAP et a rapidement grimpé les échelons. Maintenant il est ingénieur et gère 8 sites !